Martin Wendt

Martin Wendt Œuvres artistiques de sable et d'argile

Dans ses mains

Martin Wendt

Œuvres artistiques de sable, argile, et béton

Biographie

Je suis venu à l’art par la littérature, à travers mon métier j’ai été attiré par la construction d’habitat en terre bois et torchis.

Dans ma profession de maçon coffreur j’ai beaucoup utilisé le béton, une matière que j’ai apprivoisé et qui me servira plus tard de base pour des sculptures.

Ma première sculpture était en sable, à l’époque j’ai appris avec le sculpteur Holger à Cullera (Espagne) en 1994.

Après ma première saison j’ai commencé à sculpter l’argile crue.

En 1995 je fais une saison estivale de sculpture sur sable à Palavas.

En 1996 je retourne à Cullera pour une saison de sculpture sur sable.

Ces 2 saisons ont été photographiées par Jacques Helmrieux Montpellier.

En 1998 une saison de sculpture sur sable à Canet.

En 1999 une saison de sculpture sur sable à Leucate.

En 1999 après ma saisons à Leucate et suite à la perte dans une inondation d’une série de sculptures en argile crue, je choisi le béton pour sa solidité.

Le béton offre la possibilité de sculpter avec une bonne définition et en petite taille.

J’utilise des sculptures en argile qui me servent à faire un moule en latex qui me permet d’obtenir ensuite une sculpture en béton.

J’utilise des bétons colorés avec des oxydes de granularités différentes allant de 0,1 mm à 0,4mm.

Sur certaines œuvres je sculpte le béton directement à la main, avec un couteau, une truelle ou des aiguilles…

Face à la parole et ses multiples possibilités d’interprétation, la création d’images en volume est pour moi un moyen plus direct et instinctif pour exprimer des concepts et des émotions, ainsi qu’un engagement sur l’art et la liberté avec une dimension critique et sociale.

Mon approche de la représentation est dans mon travail à l’image du conte avec une bonne dose de fantaisie.

 

« L’appréciation de l’art est sa dissolution,
le marché de l’art est la bourgeoisification de l’inspiration, l’asservissement financier de la liberté artistique. »

 

« La religion, c’est la commercialisation de Dieu.
L’art, c’est la commercialisation de l’âme. »